Il ne t’est pas permis de monter
vers Dieu, mais tu dois commencer
là où il a commencé lui-même:
il est devenu homme.
C’est pourquoi quand tu entends
réfléchir à ton salut, laisse là
toute spéculation sur la majesté
de Dieu.
Et hâte toi d’aller vers la crèche
et regarde-le, le nouveau-né,
l’enfant qui grandit, l’homme
qui meurt.